Un agréable passe-temps

Pour ceux ou celles qui ont eu une journée chargée, une petite course à pied serait une très bonne distraction. En effet, il ne s’agit pas simplement d’un effort physique comme les autres où le but est de gagner en muscle. Il pourrait se montrer tout aussi bien comme un défi, un antistress ou une promenade pour la majorité.

Un exercice de santé

Tout le monde devrait savoir que pour être en bonne santé, il est nécessaire de pratiquer au moins une activité physique. Le jogging est alors l’idéal dans ce cas. Pratiquer ce sport régulièrement réduit en effet le taux de cholestérol, de diabète, et l’hypertension. Il est d’ailleurs recommandé aux patients atteints par ces maladies. Sachez qu’il prévient également l’obésité. Il renforce aussi le plan mental. Il augmente les énergies positives et booste la confiance en soi.

Un stimulant physique

Le jogging est un excellent exercice d’endurance. Un jogging régulier permet non seulement de stimuler les réflexes, mais aussi de renforcer les muscles. Il empêche aussi certaines maladies pathologiques et diminue les risques cardiovasculaires. Suivie d’une alimentation équilibrée, cette activité sportive est parfaite pour rester en bonne forme, et il peut être pratiqué par les petits comme les grands.

Un sport accessible

Parmi toutes les catégories de sport, une course à pied ne nécessite pas de matériels sophistiqués. Achetez simplement de bonnes chaussures de sport et cela devrait suffire. Il ne nécessite pas aussi de combinaison spéciale. Un short ou un jogging, avec un t-shirt, fera faire l’affaire. Il peut être également pratiqué dans n’importe quelle région, qu’il s’agisse d’un endroit urbain ou de la campagne. En outre, qu’il fasse chaud ou froid, il n’y a pas de saison précise pour le pratiquer.

Des exigences de forme

Les joueurs de pétanque lancent leurs boules qui pèsent normalement entre 650 et 800 grammes sur une distance de 6 mètres au moins, avec plus ou moins de force, suivant le type d’action qu’il veut réaliser : pointer ou tirer. Ce lancer peut paraître, a priori dérisoire, mais durant un affrontement d’une heure entre deux personnes, les joueurs auront traversé près de 1,5 km entre le tir, l’observation sur le côté et l’analyse du résultat. En plus, il aura aussi soulevé près de 52 kg, dont plusieurs boules de 700g, durant tout ce parcours. Cela constitue alors une sollicitation qui confirme le travail musculaire, auquel s’ajoute l’activation de l’ensemble des articulations. Il s’agit en plus d’un sport d’adresse qui allie précision et agilité. Ces exigences se révèlent surtout lors des tournois et compétitions, notamment lors du championnat du monde.

Les règlements existants

De par sa reconnaissance comme sport, la pétanque a ses règles qui sont homologuées par la Fédération Internationale de Pétanque et de Jeu Provençal (FIPJP). Elle est ainsi acceptée auprès du ministère des Sports ainsi qu’auprès du Comité national olympique et sportif français. Le règlement concerne aussi bien les règles du jeu que les installations et matériels utilisés. C’est justement la souplesse d’application de ces règles dans les parties ludiques, concernant les dimensions et l’état des terrains, les poids et dimension des boules, ainsi que le comportement des joueurs, qui a valu à la pétanque d’être taxée de sport de flemmard. En effet, ce sport offre la possibilité de jouer un simple jeu de loisir au cours duquel les efforts peuvent être interrompus par des pauses rafraîchissement.

Pourquoi et comment préparer sa reconversion ?

En fin de carrière, la plupart des athlètes de haut niveau ont peu d’informations sur comment préparer et gérer leur reconversion. Or, ce virage se prépare pendant toute sa carrière sportive. S’il exerce actuellement, le sportif sait qu’un nouveau chemin devra être tracé d’ici quelque temps. Il importe donc de réfléchir au plus vite à ce qu’il fera à la fin de sa carrière sportive.

Sans préparation, un sportif de compétition sera confronté à un triple choc au moment de l’arrêt de sa carrière : physique, identitaire et social. Un autre problème majeur, c’est que les athlètes n’ont pas les bases nécessaires pour réussir leur recherche d’emploi. Il est donc primordial de faire un profond travail sur soi-même pour identifier ses envies, savoir où l’on en est et ce que l’on peut faire.

En effet, la conversion professionnelle ne se fait pas à la légère, surtout pour les sportifs de haut niveau dont les compétences ne coïncident pas souvent avec les attentes des employeurs. Pour bien s’y préparer, voici quelques solutions possibles :

– Réaliser un bilan personnel (auto-évaluation) pour se remettre en question avant de faire le choix du métier ;
– Faire un bilan de compétences qui relève souvent d’une formation continue permettant à l’athlète de faire le point sur ses aptitudes et ses motivations ;
– Profiter d’un Conseil en Évolution Professionnelle (CEP).

Quelles aides pour les sportifs en reconversion ?

Comme nous venons de le voir, il est nécessaire que le sportif définisse ses souhaits et mette en exergue ses facultés. D’ailleurs, un bilan de compétences permettra d’obtenir de bonnes pistes sur l’orientation à suivre. Pour cela, différentes options s’offrent à vous :

– Formation

Il existe plusieurs établissements publics de formation qui s’occupent particulièrement des sportifs. Parmi ceux-ci, on trouve l’Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance (l’INSEP).

– Accompagnement personnalisé

Il y a également des réseaux et des organismes d’accompagnement certifiés qui sont souvent fondés à l’initiative d’anciens sportifs comme Resovalie. On trouve notamment des agences passerelles qui sont en mesure de mettre en relation les sportifs avec les chefs d’entreprise. Resovalie accompagne les sportifs dans leur reconversion. Cet organisme dispense des programmes de reconversion personnalisés en fonction des compétences et des objectifs de l’athlète.

– Les aides de l’État

En France, la reconversion des sportifs de haut niveau n’est pas prise à la légère. Bien conscient des enjeux que représente ce changement de vie, l’État a mis en place différents dispositifs d’aide financière destinés spécialement aux sportifs de haut niveau. Il peut s’agir d’aides sociales ou liées à la formation. La personne sera également aidée si elle a un projet double, qui combine sa carrière sportive à un métier dans un domaine différent.

Les aides peuvent également être versées aux employeurs dans le cadre d’un contrat de travail dont les horaires sont adaptés aux personnes alliant travail en entreprise et carrière sportive. Les sportifs de haut niveau peuvent également prétendre à des aides aux concours et à la formation pré-universitaire.

Pourquoi se lancer dans cette discipline ?

La course à pied est la forme d’exercice physique la plus simple, la plus naturelle et la plus efficace pour entretenir la santé. Elle contribue à renforcer le corps, développe les poumons et aide à muscler le cœur. Elle diminue le taux de lipide et augmente le taux du bon cholestérol dans le sang. De plus, courir aide à la bonne circulation du sang et réduit le stress. Cela diminue ainsi le risque de thrombose et augmente la capacité maximale d’absorption d’oxygène.

Cette discipline permet aussi de renforcer la partie inférieure du corps. Les tendons et les ligaments deviennent de plus en plus solides, ce qui augmente la force et la stabilité des articulations. La graisse se transforme progressivement en muscle et entraîne une perte de poids. La course réduit les risques de crise cardiaque, les blessures musculaires ou osseuses, l’hypertension artérielle. Elle réduit également les effets de l’asthme et du diabète sur le corps. Elle améliore le système immunitaire en général.

Bref, la course à pied est bénéfique dans la mesure où elle stimule le métabolisme, contribue au contrôle du poids et développe les capacités cardiovasculaires. Ceci étant, faites attention, car il est important de courir de façon régulière et raisonnable.

Course à pied : un moyen de travailler l’endurance physique pour faire du vélo

Le cyclisme est l’un des sports qui nécessitent une bonne endurance. Pour rappel, l’endurance est la capacité à maintenir un certain niveau d’effort pendant une durée prolongée. Plusieurs facteurs interviennent pour avoir une meilleure endurance, à savoir la capacité respiratoire (le souffle), la capacité cardiovasculaire (le cœur), les muscles et la psychologie (le mental).

D’après les articles sur https://www.endurance-alpha.com, la course à pied est un tremplin pour gagner en endurance et en ténacité. De ce fait, celui qui pratique le vélo doit faire en parallèle de la course. Les deux disciplines sont complémentaires si on veut être plus performant. Avec la course à pied, le cycliste a tout à gagner en développant à la fois sa résistance et sa coordination. Oui, la course à pied est l’un des moyens les plus efficaces pour améliorer l’endurance en vélo, mais nécessite des entraînements adaptés. Pour améliorer la performance en vélo, il faut alors s’entraîner plus longtemps en course, aller plus loin et parcourir le plus de trajets possible.

L’entraînement en altitude, combiné avec du vélo améliore également sa performance et son endurance. Celle-ci se mesure au niveau cardiaque, respiratoire et musculaire et elle s’améliore sur le long terme. Elle nécessite un programme d’entraînement spécifique, adapté à la forme physique et autant que possible avec l’aide d’un coach.

Pour raffermir vos abdominaux

Pour avoir un ventre plat, le plus efficace est « la planche ». C’est un exercice de gainage qui suppose le maintien d’une position semblable à celle d’une pompe et rester ainsi sans bouger le plus de temps possible.
Le dos doit être bien droit et se placer parallèle au sol. Vous devez maintenir la position en contractant les abdominaux et les fessiers. Pour que l’exercice soit efficace, votre corps doit réellement avoir l’aspect d’une planche. »

Pour muscler vos jambes

Axé sur les jambes et les fessiers, l’exercice en question s’appelle « lunge », ou fente en français. C’est un exercice classique qui a fait ses preuves dans le monde du renforcement musculaire.
Pour le réaliser correctement, on met un pied devant, et l’autre loin derrière avec le talon décollé du sol. Une fois que l’on est bien placé, on descend le genou le plus bas possible, de manière à avoir un angle de 90° au niveau du genou.

Pour muscler vos bras

Pour prendre de la masse musculaire au niveau des bras, il y a plusieurs exercices possibles au poids du corps. Mais l’un des plus efficaces est celui qu’on appelle « Dips », ou pompe arrière en français. C’est un exercice polyarticulaire destiné à développer principalement la force et le volume des triceps, des pectoraux et des épaules.
Pour sa réalisation, mettez-vous dos à une chaise (ou à un banc). Sur le rebord de la chaise vous placez vos mains, au même niveau que vos épaules. Ensuite, tout en gardant les pieds au sol, pliez vos genoux. Une fois en position, pliez vos bras pour descendre vers le sol, puis a la force de vos triceps, remonter en position initial.
Il faut répéter ces exercices plusieurs fois (au minimum 15 fois).Et si votre corps est douloureux après l’effort, étirez-vous et félicitez-vous d’en être arrivé là !

Ça entretient le mental

Réussir des postures de yoga difficiles requiert une concentration que l’on acquiert grâce à la respiration. En effet, lors de la pratique du yoga on apprend à lâcher prise avec le pranayama ou la respiration profonde. Mais également à se concentrer sur les mouvements corporels, en alternant les asanas. En contrôlant sa respiration, on développe de l’endurance corporelle. De la même façon, on relâche les tensions et le stress. Ainsi, avec la pratique régulière du yoga, on prépare le mental à affronter les futurs challenges sportifs.

Développe la force des muscles

En faisant du sport, le corps sollicite beaucoup d’efforts musculaires. Avec le temps, les muscles vont donc se durcir et se raccourcir. Il en résulte une tension musculaire importante, d’où les courbatures au lendemain. Afin de détendre les muscles, le yoga les allonge et leur donne de l’élasticité. De plus, maintenir des postures de yoga à des moments prolongés fortifie les muscles profonds. Cela permet d’apporter de la stabilité dans les exercices sportifs. Ainsi, le yoga apporte de l’aisance et de la souplesse dans les mouvements.

Diminue les malaises

Lors des efforts continus, comme pendant un marathon, des nausées peuvent survenir. Conjuguer le yoga au sport pourrait diminuer considérablement cette gêne. En effet, pratiquer le yoga permet de connaître ses limites et le fonctionnement de son corps pour mieux l’exploiter. Lors d’une séance, on change de posture tout en synchronisant la respiration. Ainsi, en implantant le yoga dans la routine du sportif, il pourrait optimiser largement ses performances.

Qui peut pratiquer l’alpinisme ?

Étant un sport d’endurance, l’alpinisme est réservé aux personnes ayant une bonne condition physique. Cependant, la physique n’est pas le seul critère, il faudra aussi avoir une certaine force psychologique. En effet, un alpiniste sera confronté à des conditions difficiles, ce qui requiert une forte détermination. D’ailleurs, gravir des sommets prend un certain temps.

Pour vous lancer dans l’alpinisme, il faudra donc que vous soyez déjà adepte des randonnées et de la course à pied. Il s’agit en effet des meilleurs entraînements.

Quels sont les bienfaits procurés par l’alpinisme?

L’objectif de l’alpinisme est de pratiquer un sport complet, dans le sens où il fait appel à toutes les parties du corps humain. De ce fait, il apportera autant de bienfaits que toutes les autres activités physiques, à noter :

– Une augmentation de la masse musculaire

L’ascension des montagnes aura pour but d’améliorer votre endurance, bien que ce soit un critère déjà requis au départ. Sachez que la masse musculaire équivaut à une amélioration de votre forme physique. Par la même occasion, les exercices effectués auront pour but d’améliorer votre agilité. D’ailleurs, cela est nécessaire pour se maintenir en équilibre.

– Une stimulation des fonctions cérébrales

La pratique de l’alpinisme requiert une certaine concentration. Toutefois, cela est insuffisant, mais il faudra aussi faire preuve de stratégie. Par ailleurs, gravir des montagnes est un bon moyen de déstresser, vu que cela se fait en plein air. De plus, réussir à gravir une montagne devrait grandement améliorer votre self-estime.

– Un meilleur système cardio-vasculaire

Comme la course à pied, cette activité vous permettra de réguler votre rythme cardiaque. Cela est nécessaire pour favoriser la circulation du sang et son oxygénation.

Pour commencer votre entraînement, faites un tour sur elleestfit.com. Il est nécessaire de vous renseigner, car même si elle apporte des bienfaits indéniables, la pratique de l’alpinisme requiert de nombreuses précautions en ce qui concerne la sécurité du pratiquant. Autrement, de graves accidents peuvent se produire.

Des attributs indispensables

Il y a tout de même entre 8 à 10 km de parcours à faire sur un terrain accidenté, si nous ne parlerons que de ce point ! Il vous faudra 4 heures environ pour faire ce parcours, ce qui correspond à une dépense énergétique entre 600 et 1000 Kcal. D’un autre côté, la concentration et une attention soutenue sont aussi requises, au même niveau que de bonnes capacités neurosensorielles. Les capacités de réaction, à apprécier la latéralité et la spatialité sont également indispensables. L’un de vos objectifs est de faire en sorte que même fatigué, cet état n’altère pas la qualité de votre jeu.

Des caractéristiques physiques participant à vos performances

La taille est un facteur-clé de réussite au golf. Et les faits montrent que les hommes de grande taille sont meilleurs au golf et les champions dans ce sport sont tous des hommes grands. Ce qui ne veut pas dire que vous êtes condamné si vous êtes d’une taille moyenne. Puis, il y a le rapport entre la longueur du bras et la taille. Le fait est que ce rapport influe considérablement sur la qualité de votre swing. Ensuite, la circonférence de votre avant-bras compte aussi, de même que la hauteur de votre jambe. Si celle-ci est haute, vous avez de grandes chances de devenir plus performant. Veillez également à ne pas trop grossir : le poids peut interférer sur vos capacités. Les hommes fins, c’est connu, sont les plus aptes à faire du golf et réussissent.

Préparez-vous bien sur le plan physique

N’oubliez pas que le golf est un ensemble de contorsions du corps qui elles, produisent un résultat des plus gracieux. Ce n’est pas un sport avec contact, il n’en reste pas moins qu’il peut présenter certains dangers. Il est donc très important de travailler musculairement la région du tronc, notamment la ceinture abdominale, étant donné que le mouvement est surtout généré par cette partie. Pour stabiliser vos épaules, il est aussi utile de renforcer la coiffe des rotateurs. De cette manière, vous vous évitez des blessures et des inflammations dans cette zone. Pour la souplesse, dans le but de la maintenir et surtout pour la développer, il vous faut effectuer de nombreux exercices de flexibilité. Habituez votre corps à ces multiples contorsions afin qu’il ne se rebelle pas au moment fatidique. Dans tous les cas, pensez à vous faire encadrer par un professionnel qui vous dispensera les entraînements de préparation adéquate. De plus, à chaque golfeur son élan. Aussi, c’est à votre entraîneur de vous aider à acquérir une bonne biomécanique du mouvement du swing.

Mieux comprendre ce qu’est le handisport

En France, le handisport apparaît en 1954 en même temps que naît l’Association des mutilés de France, devenue la Fédération sportive des handicapés physiques de France puis Fédération française handisport. Cette Fédération fait partie du Comité international paralympique. De nombreux sportifs français ont participé à différentes éditions des Jeux paralympiques d’été depuis l’année 1960 à Rome, puis à Tokyo au Japon, à Tel-Aviv en Israël, à Heidelberg en Allemagne, à Toronto au Canada en 1976, à Arnhem aux Pays-Bas, à New York, à Stoke au Royaume-Uni. Ils étaient au nombre de 190 à participer à l’édition de 1988 à Séoul en Corée du Sud, et presque autant à Barcelone en 1992, jusqu’en 2016 au Brésil.

Le handisport amateur et de compétition

Comme pour les personnes valides, le sport apporte des bienfaits aussi à celles qui sont handicapées, sur leur santé générale et sur leur développement personnel. En pratiquant un sport, ces sportifs désirent montrer leur potentiel, ce qui pousse le public à s’y concentrer plutôt que sur leurs limites. Il y en a donc qui font du handisport en tant que simple amateur. Pour ceux qui visent la compétition, il faut admettre que les athlètes handisport ne sont pas encore classés comme des athlètes de haut niveau à part entière et aucun d’entre eux ne peuvent vivre de leur sport. D’ailleurs, certains de leurs équipements sont chers et pour s’en procurer, quelques-uns doivent compter sur des sponsors. Il est malheureux de constater par ailleurs que les compétitions handisport sont très peu médiatisées, concourant à leur méconnaissance. En compétition, les athlètes sont regroupés en fonction du type et de la gravité de leur handicap, c’est-à-dire qu’ils ont à peu près les mêmes aptitudes fonctionnelles.

Quelles sont les limites ?

En fait, chaque sport peut être pratiqué par les handicapés tant que des aménagements nécessaires sont apportés. C’est ainsi que parmi les handisports d’été, sont compris l’athlétisme, le basket en fauteuil roulant, la boxe, le cyclisme, la danse en fauteuil roulant, l’équitation et l’aviron. Il ne faut pas oublier non plus le boccia, une version de la boule pétanque mais jouée avec des boules en cuir et destinée aux sportifs handicapés moteurs. Il y a aussi l’escrime en fauteuil roulant, le foot fauteuil, l’escalade, le football à 5, celui à 7, le goal ball, le golf et l’haltérophilie, le judo, le karaté, le rugby, le tennis, le tir à l’arc, etc. Les handisports d’hiver comprennent le ski alpin, le hockey sur luge, le ski nordique et le curling.

La course à pieds c’est quoi ?

La course à pieds comme sport et discipline de compétition, ne date pas d’hier. C’est une pratique qui a vu le jour durant l’Antiquité où on avait déjà des athlètes qui concourraient durant les périodes des fêtes. On le trouvait autrefois, sur les terres égyptiennes, mais également, en Grèce. De là, la pratique et les règles de cette discipline n’a cessé d’évoluer. En effet, dans le temps, ce type de course se réalisait en groupe et on pensait que les individus qui courraient seuls n’étaient pas sains d’esprit. Quelques années plus tard, on prenait la course à pieds comme un sport qui ne se pratiquait que par des athlètes qui étaient inscrits dans des clubs spécialisés. Les personnes particulières ne pouvaient pas encore courir librement sans préjuger. Ce sera seulement à partir des années 70 qu’on remarquera une véritable démocratisation de ce sport. Il est devenu ouvert à tout le monde et est considéré aujourd’hui, comme une base incontournable pour tous les sportifs. À partir de cette petite histoire, on peut définir ce qu’est la course à pieds. Il s’agit tout simplement du terme anglo-saxon désignant le running. Le running se pratique sur des terrains plats en n’utilisant que la force de ses pieds comme appui pour courir. L’objectif du coureur dans ce cas, c’est de faire une certaine distance le plus rapidement possible, que ce soit en mode sprint ou en endurance.

Les différentes formes actuelles de la course à pieds

Au fil des années, on a aussi constaté que la course a pieds a évolué et qu’il existe actuellement, différentes formes dérivées de la base. On peut ainsi, trouver la course athlétique. Elle peut intégrer les sprints ou course de vitesse, mais aussi, les marathons de toutes sortes qui permettent de mettre en valeur l’endurance de l’athlète. Il existe aussi des courses qui se font sur des terrains accidentés qu’on appelle le trail et des courses utiles à l’entrainement avant certains types de sport collectif comme le basketball, le football et autres. En effet, quand on travaille sur du cardio et pour avoir de l’endurance, on doit commencer son entrainement par un peu de running. Ensuite, vous avez les courses à pieds pour le divertissement. Il peut s’agir de la course de nuit, de la course colorée ou encore des courses d’obstacle.